Tunis : Cloture de la semaine du Film iranien
La clôture de la semaine du cinéma iranien a eu lieu avec un petit bijou signé par Majid Majidi. «Couleurs de paradis», pour ceux qui ne l’ont pas vu encore, sera une jolie découverte.
Réalisé en 1998, ce film raconte l’histoire de Mohamed, un garçon âgé de huit ans qui étudie à Téhéran dans une école pour aveugles. De retour à son village natal lors des vacances, avec son père Hashem, le petit Mohamed redécouvre la nature et commence à prendre conscience de son entourage par le toucher et fait la découverte du mode de vie de ces villageois, les couleurs de la campagne. En parallèle, le réalisateur présente le père, qui ne trouve aucun plaisir dans ce petit monde, car il se croit maudit par le destin à cause du handicap de son fils et de la mort de sa femme. Ici les couleurs de paradis sont les couleurs de l’innocence et de la spontanéité qui guident les pas de ce petit Mohamed qui savoure pour la 1ère fois la beauté du monde. Dans ce film, Majid Majidi joue étonnamment sur le visuel, sur les nuances des sentiments humains et sur les couleurs malgré le thème abordé qui reste le droit des enfants non voyants à une vie meilleure. On apprécie à merveille ce film sur le bonheur, les mœurs et l’amour.
«Les couleurs de paradis» de Majid Majidi, à la Maison de la culture Ibn Khaldoun, à partir de 18h30.
Réalisé en 1998, ce film raconte l’histoire de Mohamed, un garçon âgé de huit ans qui étudie à Téhéran dans une école pour aveugles. De retour à son village natal lors des vacances, avec son père Hashem, le petit Mohamed redécouvre la nature et commence à prendre conscience de son entourage par le toucher et fait la découverte du mode de vie de ces villageois, les couleurs de la campagne. En parallèle, le réalisateur présente le père, qui ne trouve aucun plaisir dans ce petit monde, car il se croit maudit par le destin à cause du handicap de son fils et de la mort de sa femme. Ici les couleurs de paradis sont les couleurs de l’innocence et de la spontanéité qui guident les pas de ce petit Mohamed qui savoure pour la 1ère fois la beauté du monde. Dans ce film, Majid Majidi joue étonnamment sur le visuel, sur les nuances des sentiments humains et sur les couleurs malgré le thème abordé qui reste le droit des enfants non voyants à une vie meilleure. On apprécie à merveille ce film sur le bonheur, les mœurs et l’amour.
«Les couleurs de paradis» de Majid Majidi, à la Maison de la culture Ibn Khaldoun, à partir de 18h30.
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